Parfois, un étrange sentiment nous envahit,comme si nous étions des invités de passage dans un temps qui ne nous ressemble pas, comme si nos âmes étaient nées à une autre époque-plus calme, plus sincère.
Nous regardons autour de nous et nous nous sentons étrangers, au milieu du vacarme de la vitesse, dans cette course effrénée de la technologie et des apparences.
Nos cÅ“urs semblent chercher la chaleur des vieux récits, et des visages qui n’existent plus…
Nous avons la nostalgie d’un temps que nous n’avons jamais connu, mais que nous ressentons si proche de nos âmes, de cette profondeur que personne ne voit.
Nous lisons de vieux livres, nous écoutons des chansons anciennes, et nos esprits s’apaisent…comme s’ils avaient trouvé leur patrie temporaire.
Est-ce la nostalgie de ce que nous n’avons jamais vécu ?
Ou est-ce l’âme qui s’enfuit de la superficialité du présent vers la profondeur de ce qu’elle imagine ?
Chaque fois que nous contemplons le coucher du soleil, nous avons le sentiment d’attendre quelque chose qui ne vient pas, un temps qui ne revient plus…
Et c’est peut-être cela qui fait de nous des êtres plus sensibles, plus attachés à ce qui ne se voit pas.
Nos cÅ“urs semblent chercher la chaleur des vieux récits, et des visages qui n’existent plus…
Nous avons la nostalgie d’un temps que nous n’avons jamais connu, mais que nous ressentons si proche de nos âmes, de cette profondeur que personne ne voit.
Nous lisons de vieux livres, nous écoutons des chansons anciennes, et nos esprits s’apaisent…comme s’ils avaient trouvé leur patrie temporaire.
Est-ce la nostalgie de ce que nous n’avons jamais vécu ?
Ou est-ce l’âme qui s’enfuit de la superficialité du présent vers la profondeur de ce qu’elle imagine ?
Chaque fois que nous contemplons le coucher du soleil, nous avons le sentiment d’attendre quelque chose qui ne vient pas, un temps qui ne revient plus…
Et c’est peut-être cela qui fait de nous des êtres plus sensibles, plus attachés à ce qui ne se voit pas.

